Mains froides... Coeur chaud !

Ces soir-là, je les déteste tous...
Je marche seule, je rentre seule. J'ai mon corps qui me fait mal. Un genou, une épaule, une cheville, qui me rappelle que je ne suis pas une machine, que des fois il faut aussi que je m'arrête.
M'arrêter. M'arrêter de me plonger dans le travail, ou bien dans le sport. M'arrêter de m'accrocher à la seule chose qui fonctionne encore...
J'ai froid. Je ferme mon blouson, je remonte mon col. Le vent sur mon visage, les mains dans les poches. Je pense. Trop. Surtout quand je marche seule, la nuit, fatiguée.
Ce soir c'était la natation, demain ce sera l'escalade, et après ? Que sais-je...
Je pense à celui qui est parti en me laissant, bête, sur la touche. Celui qui m'a crié dans la figure que je ne comprenais rien et que, si j'avais mal à cause de lui, c'était tant pis pour moi. Je ne comprenais rien. Je n'ai toujours rien compris. Et lui non plus le crois. Lui qui m'avais redonné l'envie de faire des projets, de regarder loin devant moi, loin devant nous. Il s'est barré en me disant que, pour lui, c'était couru d'avance de toutes façons, il n'y avait jamais cru...
Je pense à l'homme que j'ai quitté parce qu'il n'était pas pour moi. Celui qui était indispensable, mais toujours ailleurs, jamais là, jamais près de moi. Celui qui me faisait me sentir seule dans des moments où je devais me sentir deux... L'abonné absent malgré lui, l'indisponible chronique.
Je pense à celui qui devrait être là, mais qui ne l'est pas. Celui qui devrait m'envoyer un message, mais qui ne le fais pas. Celui qui devrait se soucier de savoir où je suis, comment je vais, mais qui s'en fout. Celui que je ne quitte pas, simplement parce que je me demande si, pour le quitter, il ne faudrait pas qu'il ait été un peu présent.
Je me demande pourquoi faut-il qu'ils soient tous absents dès qu'ils entrent dans ma vie. Je ne me demande pas ce que je fais de mal. J'ai arrêté de me poser la question. Il doit y avoir quelque chose, quelque part, qui cloche, mais je ne sais pas, je n'ai pas la réponse.
Je voudrais arrêter de courir.
Climbing, Swimming, Running... et en plus il faudrait que je cours après les hommes... Je le faisais avant, quand j'étais encore assez naïve pour croire que leur courir après pouvait les retenir... J'ai arrêté.
Mais je pense, encore...
Je pense à celui que je n'aurai pas. Celui qui me rend timide. Moi ??? Timide ??? Oui, infiniment quand il est près de moi. Il me fascine, il m'impressionne, il me rend perplexe et vulnérable... Il est si près, et en même temps dans un autre monde.
Elle serait jolie, la vie, s'il était là. Dans ce froid automnale, j'imagine cet homme qui m'attendrait. Pour une fois quelqu'un m'attendrait. Juste pour être avec moi, pour prendre soin de moi, un peu.
Les phares aveuglants d'une voiture. Le retour à la réalité. Il fait toujours froid, il fait toujours nuit, et c'est mon genou qui est douloureux. Peut-être que je boite, je ne me rends pas bien compte. Il est tard, trop tard. Je voudrais juste dormir.
Dormir pour ne plus penser à tout ça... Dormir pour ne plus être triste. Dormir pour ne plus me sentir seule.
Et demain tout recommencer...

Non, je ne reviendrai pas vers toi. Parce que c'est toi qui m'a jeté, c'est toi qui n'étais pas désolé, c'est toi qui n'y croyais pas, c'est toi qui m'as dit que nous n'étions pas compatibles... et en plus de tout ça, c'est toi qui m'a dit que tout était de ma faute. Alors je l'ai décidé : j'ai repris mes clics et mes claques, j'ai remballé tout l'amour et les projets que j'avais pour nous deux, j'ai arrêté de me faire des films, et j'ai décidé de ne plus te parler.

Non, nous ne serons pas amis. Parce que si nous l'avons été, c'était surtout parce que je me faisais tout un tas d'illusions à ton sujet, et que j'ai bien fini par me rendre compte que tu ne valais pas la peine que je cours pour toi, ou même que je pense à toi.

Et crois moi que si je pense encore à toi, j'admets que ce doit être pathologique, parce qu'après tout ce que j'ai déjà pleuré, logiquement je ne devrais plus. Si j'étais logique, ça se saurait... et c'est bien malgré moi.

Non, je ne sais pas ce que je veux. Biensur que je ne sais pas ce que je veux, je n'ai que 21 ans (bientôt 22 !!!), je n'ai pas encore vu le monde, et ma vie n'a pas encore commencée (même si elle est déjà bien remplie).
MAIS, bordel, je suis déjà bien assez grande pour savoir ce que je ne veux pas...

Non, je n'ai pas rompu avec mon ex, pour indisponibilité chronique, pour me remettre avec un autre qui pourrait me mettre entre parenthèses quand ça lui chante. Ok, moi aussi des fois je pars sans laisser de traces pendant une semaine ou plus : quand je pars en vadrouille équipée de mes rangers le plus souvent, ou alors c'est que je suis dans le trou du bout du bout du monde... Enfin j'ai "une bonne excuse".

Non, celui qui publie tous les jours sa vie sur Facebook depuis sont Iphone n'a pas une bonne excuse... Ou alors l'excuse de pas y avoir pensé, de ne pas en avoir eu l'envie... et en mon sens c'est encore pire. Et s'il a la maturité de me dire "oui mais toi non plus !" je lui répondrai qu'il ne s'agirait pas non plus que ça vienne toujours de moi, que j'ai encore la naïveté de percevoir le couple comme une relation d'échange, et que j'en ai marre des mecs qui finissent toujours par me dire que c'est de ma faute : je me casse.

Non, quand je dis qu'il vaut mieux être seule que mal accompagnée je ne cherche pas à camoufler un manque d'opportunité. Je ne choisi pas les mecs par défaut, c'est tout.

Alors, comme dirait un professeur de droit Américain que j'adore :

Too bad, so sad !!!

Je pensais qu'un jour j'apprendrai la danse avec l'homme de ma vie. Je nous imaginais déjà les yeux dans les yeux, sur une valse... Mais l'homme de ma vie ne venant pas, j'ai été toute seule aux cours, et j'ai appris toute seule.

Je rêvais que l'homme de ma vie soit musicien, guitariste. Qu'il jouerait de la gratte le soir pour m'endormir... Mais à défaut d'avoir un musicien, je me suis acheté une guitare. J'apprends toute seule, j'ai mal aux doigts, mais un jour j'y arriverai...

J'aurais voulu que cet homme soit un motard... Il m'emmènerait en virée, je m'agripperais à lui, et il m'en mettrait plein les yeux et je serais grisée par la vitesse. Mais à défaut, je pense que, quand j'aurai le temps et l'argent, je passerai moi-même le permis moto...

On n'est jamais aussi bien servi que par soi-même paraît-il...

Moi qui suis généralement la première à conseiller de "laisser les choses se passer", de "laisser les mecs approcher"... Mais tous ceux qui se sont approchés alors que je laissais les choses venir n'ont pas été des mecs biens...
Et pourtant, forcer les choses, ça ne me ressemble pas... J'ai le sentiment d'être dans l'impasse...

"Te laisse pas abattre !"
C'est ce que m'a dit Jessica cet après-midi. C'est dingue, je la connaît à peine. Mais ça m'a fait du bien d'entendre ça. Peut-être justement parce que ça ne pouvait que partir d'un bon sentiment. Merci Jessica.

Ce soir je flippe pour mon avenir. Je le sais, c'est complètement débile. Mon avenir dépend surtout de moi. Qu'il soit à long ou à court terme...

Vendredi, J - 2, va être une matinée assez difficile. J'appréhende. Tellement de choses doivent se passer ce matin-là.
Charlie Tango. M*rde, c'est comme si nos chemins ne pouvaient jamais cesser de se croiser. Je sais que je ne devrais pas y penser comme j'y pense, trop. Trop pour ce qu'il mérite en réalité. Mais je ne peux pas rester indifférente. Pendant des mois il a tellement représenté pour moi... et maintenant que tout est fini, qu'il m'a fait assez de mal pour que plus jamais je ne puisse ressentir de l'amour pour lui, l'idée de me retrouver face à lui Vendredi matin me perturbe. Tout ça pour un ceinturon idiot, mon ceinturon. Mais plus vite il me l'aura rendu, plus vite je pourrai oublier ce matin où je le lui ai prêté...
Je voudrais bien être une battante. Je suis une battante ! Une battante, pas une insensible, bien malheureusement. Il ne me mérite pas.
Les partiels. Résultats du S3... s'il n'ont pas déjà été affichés le Jeudi soir... Oui, ok, je ne compte plus le nombre de gens qui m'ont dit "ça ne sert à rien d'angoisser, de toutes façons c'est fait c'est fait". Bah oui, vu comme ça, ça semble tellement simple ! Comme si je n'y avait pas pensé auparavant ! J'ai envie que mes efforts se transforment en réussite, pour une fois, en droit administratif...

Parce que je pense à mon avenir. Et, ce soir, mon objectif ne m'a jamais parut aussi proche... C'est dingue ! Certes, ça m'a un peu effrayé. Mais pas seulement, ça m'a retourné. Je sais quoi faire. Le droit public, le droit privé, le droit international et européen, l'anglais... le sport aussi. Même un voyage découverte du Commissariat de l'Air ! Cet après-midi tout m'a semblé aller tellement vite. Beaucoup d'informations d'un coup...

Et c'est étrange ce que je ressens là, en ce moment. L'appréhension. L'envie de me battre, mais la peur.
"Te laisse pas abattre !"
Non, pas maintenant !

Il faut que je pense à tout ce qui m'attends de positif...

Est-ce que c'est égoïste d'être fatiguée de toujours donner ? Quand notre idéal est d'être là pour les autres, est-ce devenir mauvaise que de vouloir recevoir aussi...

Si seulement je pouvais être aimée des personnes que j'aime. Si seulement quelqu'un pouvait me donner autant que je me donne aux autres.

J'ai cette impression d'être fatiguée, épuisée... à bout. Qui pour prendre un peu soin de moi aussi...

J'adore la vie que je mène. Il y a mes études, le club d'escalade, la réserve... sans oublier ma famille, mes amis... Je serais bien embêtée de devoir renoncer à quoi que ce soit de tout ça. Ce serait un sérieux dilemme. Si bien que, souvent, je regrette de ne pas savoir me diviser pour être partout à la fois.

"Mais oui, mais ça c'est parce que t'es toute seule !!!"

Merci Mon Capitaine...

Je n'ai rien pu répondre à ça. Qu'est-ce qu'il y avait à répondre ? "Oui nan mais je pourrais c'est juste qu'il n'y a pas le tilt qui fait que je dis oui"... Tout ce que j'aurais pu répondre avait tellement peu d'importance.

Non je ne fuis rien du tout. Je ressens plein de choses au fond de moi. Des choses que je ne dis pas, parce que j'y arrive pas. Parce que je ne sais pas tout dire. Parce que je n'obtient pas tout ce que je voudrais...

Je ne fuis rien... je me dis juste que, un homme qui m'aime ne me demanderait pas de revoir mes priorités.

Alors voilà, j'ai une vie de ouf' mais je suis toute seule. J'ai une vie de ouf', je suis amoureuse et seule...

"Un jour tu trouveras celui pour qui tu seras une évidence !"

Oui... peut-être... un jour...

Mais pour moi, plus rien n'est évident. Même quand je le ressens au fond de moi, que ça fait tilt... La zazazou dans le ventre comme dit ma Poulette que j'aime... Même dans ces moments là rien ne va...

C'est tellement terrible de s'entendre dire "tu es charmante", "tu es géniale", "tu es tellement douce"... en passant par les "toi tu n'as rien à te repprocher"...

Mais si je suis si bien, si mature, si jolie, et si douce, pourquoi partent-ils ? Si je suis tout ça, pourquoi ne suis-je pas une évidence ? Pourquoi les bons moments, si spontanés soient-ils, se terminent-ils toujours dans la solitude ?

Je voudrais bien ne pas leur en vouloir. A quoi bon gaspiller cet énergie... Mais je n'ai plus envie de vivre ça.

"Les gens te regardent plus que tu ne le crois" m'a dit un homme qui aurait bien aimé que je soit pour lui une fille d'un soir. Ok c'est bon pour l'égo. Mais ce n'est pas ce que je voudrais vraiment. Ca ne m'intéresse pas de sortir avec tous ceux qui le voudraient bien.

Ce que je voudrais, c'est être l'évidence pour mon évidence. Un désir réciproque. Et que ça ne se termine pas par "tu es waou mais je te quitte"...

Quand je ne ressens pas d'amour, quand je ne m'attache pas, je suis honnête (à m'en faire insulter en fin de compte). De toutes évidences, eux n'épprouvent jamais assez d'amour pour moi pour au moins être honnête... ceux que j'arrive à aimer de tout mon coeur, eux ne m'aiment même pas assez pour être honnête...

Et je suis complètement perdue. Je ne sais plus ce qui est évident...

Il y a des demoiselles qui, lorsqu'elles se regardent dans leur miroir, se dénigrent... et exagèrent. Elles s'observent de haut en bas, et systématiquement rien ne va. La plupart du temps, elles ont tort. De toutes façons elles ne sont pas objectives !

Mais je conçois, simplement, que l'on ne peut pas toujours être en harmonie avec soit-même de façon intégrale. Je pense que nous avons tous un petit quelque chose qui nous titille, qui de toutes façons n'ira pas, n'ira jamais, et qui est toujours mieux quand elle est cachée.

En ce qui me concerne, par exemple, ce sont mes jambes. Bah oui. Surtout parce que, pour les montrer : il faut les épiler. D'ailleurs, à chaque fois, je ne peux m'empêcher de me poser la question : pourquoi donc la Femme a-t-elle été inventée avec des poils aux pattes ? Il y a des hommes que saoule particulièrement de se raser, et bien pour ma part : c'est pareil. A la différence que certains (la plupart, pas tous) peuvent être sexy avec la barbe, alors que jamais un homme ne dira à une femme "Les poils de tes jambes m'excitent !" Et si un jour ça arrive, la demoiselle s'empressera de partir en courant, l'homme en face d'elle se révélant ainsi être mentalement dérangé... Donc, tout ça pour dire que je suis très rarement en harmonie avec mes jambes... et mes pieds... Merci l'inventeur des bottes (à talons ^^) ! Certes, je porte tout de même des jupes et pantacours, mais à condition d'être en harmonie avec le reste, ou bien pour le sport.

Par contre, cependant, en revanche... Je suis certaine que même la demoiselle qui se dénigre obstinément devant sa glace, toute entière... même elle songe à un petit quelque chose, en elle, un détail de son physique, qu'elle adore ^^ Ses yeux, ses cheveux, un grain de beauté bien placé... C'est parfois peu de chose ! Et, selon moi, une femme sublime est une femme qui sait se mettre en valeur non pas pour ce que les autres aimeront chez elle... mais plutôt pour ce qu'elle-même apprécie.

Je suis bien consciente de mes atouts. Je mesure 1m70, pour un peu plus de 50kg. Je sais que mes formes n'ont pas besoin d'être cachées. Pour autant, mon décolleté et mes fesses ne sont pas les parties de mon corps que je préfère (et pourtant ce sont des parties de moi que les hommes apprécient...)

Ce que je préfère, c'est mon dos... jusqu'à mes épaules. J'aime la courbe de mon dos (oui bon je sais c'est un peu bête de dire ça comme ça)... et j'aime aussi mes épaules, même si elle sont carrées... C'est débile hein ? Vous ne trouvez pas ?

Je ne sais pas comment les hommes ressentent ça. Mais moi, rien que pour ça, je trouve ça fabuleux d'être une femme. Je ne suis pas du genre a rentrer chez moi les bras chargés de courses faites dans des dizaines de boutiques, avec plein de vêtements qui importent peu en fin de compte. Moi je préfère tourner 3 fois dans le même rayon à la recherche du pull, LE pull, en col V, que je pourrai porter de travers pour dégager une de ces épaules, que j'aime tant justement.

D'ailleurs, j'en avait un de pull comme ça. Il a vécu 2 hivers. A la fin du 2ème, il avait des trous, tellement que je l'adorais, à force de l'avoir toujours avec moi. Si bien que ma mère, quand elle le voyait dans un panier, me faisait la morale, comme quoi je devais m'en débarasser, que je ne pouvais plus le mettre. Mais je ne l'ai jamais jeté. Je l'ai même emporté avec moi à Cergy en quittant le domicile familial. Même si je ne l'ai pas porté cet hiver, je n'ai pas pu m'en débarasser, parce que je l'aime trop ce pull. Parce qu'il mettait en valeur cette épaule, découverte.

J'ai retrouvé un pull comme ça. J'ai cherché longtemps, mais je ne l'ai trouvé que maintenant. Je l'ai essayé, et ce fut un coup de coeur. Et c'est comme ça que j'aime trouver des fringues. C'est comme si je vivais une histoire particulière avec eux. Ce jean parce qu'il tombe merveilleusement bien avec mes talons. Cette chemise parce qu'elle a le bouton juste au bon niveau... et ce pull, mon nouveau pull préféré, qui met en valeur une des parties de moi que je préfère ^^

C'est de cette façon que je me sens jolie.

C'est dingue comme un rien peu vous donner envie d'aller de l'avant. Comme un sourire peut vous donner tout d'un coup un peu plus confiance en vous... et en même temps vous rendre si vulnérable...

Tellement de bonnes résolutions dans ma tête ! J'ai envie de bondir ! D'aller plus haut, plus loin, de voir plus grand ! J'ai la volonté, il faut que je trouve la force de me battre contre mes peurs.

Parce que j'ai peur...

C'est dingue. C'est tellement peu... "normal". En tous ces d'autres ne trouvent pas ça normal.

Ces autres, ce sont ceux qui ne voient comment je suis vraiment. Et, après tout, je ne peux pas vraiment leur en vouloir. Qui pourrait se douter que, derrière cette image que donne une femme de 21 ans qui ne les fait pas, qui essaie plus que tout d'assumer toutes les responsabilités qu'elle prend, qui s'est engagée dans la réserve, qui a déjà tenu un fusil à pompe entre ses mains et appuyé sur la détente... qui pourrait se douter que cette femme est en fait si vulnérable...

Pourtant j'ai peur. A coté de ces peurs, le 3ème coup du fusil à pompe (c'est celui-là qui m'a fait le plus mal dans l'épaule) ce n'est même pas la flipe...

Qui pour comprendre que je peux aussi être tétanisée...

- Le capuccino du matin. Avec ce qu'il faut de café, ce qu'il faut de chocolat, ce qu'il faut de lait... Dans ma tasse préféré ! Ca met du bonheur dès le petit déjeuner :)

- Un joli message d'une personne que l'on aime beaucoup... Un amoureux, une cousine, une amie super chouette qui pense à nous...

- Trouver du courrier dans sa boîte aux lettres.

- Faire des courses, remplir son panier avec tout ce dont on a besoin, et payer moins cher de ce qu'on pensait une fois en caisse ^^

- Cuisiner pour les gens qu'on aime...